Le dub, c’est un peu comme la variété, ça peut sembler facile mais il faut avoir un sacré sens du tube. C'est pas donné à tout le monde mais le producteur lyonnais Panda Dub, déjà chroniqué ici, l’a indéniablement : éléments roots dans un univers digital, basses lourdes, hypnotiques et constructions sobres voire minimales pour un résultat terriblement efficace. Pas pour rien qu’il rencontre un succès fracassant sur la scène française et internationale…
026 janvier 2016